lundi 23 mars 2009

Saint Springer qui veille sur nous, apportez nous vos lumières!

Je viens d'avoir du temps devant moi pour regarder un peu mieux, un peu plus, un peu plus activement, le site sur le PEL dans celui sur le Conseil de l'Europe.

bin-dites-donc !?

yen a de la page, du document joint à qui n'en veut.

Je devine les grandes lignes, mais quand même le moindre de ces docs fait plusieurs dizaines de pages. Comme j'ai l'esprit rapide à l'analyse mais que je supporte mal les longues lectures sur l'ordi, je mesure qu'il s'agit d'une grosse affaire mais je vois pas encore bien en quoi ça va bouleverser l'ordre de mon cours.

help/hilfe/ayuda/caramba

y en a quelqu'un qui veut aider le schmilblik à avancer???

Saint Springer qui veille sur nous, apportez nous vos lumières!

samedi 14 mars 2009

ce matin marseille était un monde, un univers.

samedi matin je sors, ma mission trouver un quelque part où imprimer le dossier de candidature MAE.

cours Julien, tout est fermé sauf cette petite librairie bordélique dont je repars avec un Dumas sous le bras mais sans mon impression recherchée.

rue d'aubagne, je fais tous les taxiphones, c'est un drôle de monde, je marrête et tout d'un coup je sens quelque chose que je n'avais pas senti depuis l'Equateur, indéfinissable, la pollution, le bruit, l'agitation et la lassitude en même temps. je m'arrête je cherche au tour de moi.

et là dans une corbeille est écris: Manioc 2 euros les 2kilos. Costa Rica. si vous croyew que les légulmes n'ont pas d'odeur, fates zerreurs.

donc un Dumas, Un Manioc, toujours pas d'impression. je continue a chercher

lundi 9 mars 2009

ben là c'est le bordel... un peu!

Et bien, voilà Presque deux mois que ce deuxième semestre commença.

Et il me semble bien que plus les jours passent et moins je suis au clair.

Je suis confus, moi qui aime me croire ordonné et efficient en toute chose…

Ben là c’est le bordel… un peu.

 

Messieurs nos professeurs, vous d’ordinaire si prompt à comprendre que nous ne fichons rien entre les deux heures de cours où vous nous entretenez, vous que nous vîmes sous un jour tellement serein au semestre premier, que s’est-il passé ?

Vous nous abreuvez de messages sibyllins de consignes incomplètes, d’échéances toujours plus proches (cette phrase est rigolote).

Vous faîtes grèves et que grèves soient faîtes nous le comprenons, certains d’entre nous le soutiennent, adhèrent, participent, écoutent, mais tous (dumoins je crois) s’inquiètent.

Entre les préparations du M2, les milliers de courriels, les devoirs nombreux, personne ne semble plus du même avis avec personne.

Moi, je vois venir gros comme une patate, qu’à la fin de ce semestre je ne saurais rien de plus qu’au commencement, et que des examens incohérents nous tomberont sur le paletot, et que vous les Professeurs serez exténués de ce semestre second et que vous vous embarrasserez peu de ce que cette belle promotion que nous sommes obtienne des résultats qui deviendront des obstacles.

Après cette longue phrase compliquée il ne me reste qu’à rappeler combien attentif vous êtes, aimants, soucieux, et même (j ‘ose) humains. Et que je ne connais pas tant d’interlocuteurs qui m’autoriseraient que je leur parle avec cette liberté ci.

Vous pouvez continuer de nous noyer sous les lectures que nous ne faisons pas, rien ne vaut, comme le disait quelqu’un de la classe, vos beaux pulls tricotés mami et l’assurance de vous voir en barbe et phare à paupière pour nous faire comprendre quniacomprendre.

 

Que faire dans toute cette confusion de stages, d’observations, de devoirs, de CV, de lettres de motivation performantes,  d’expérimentations en classe…

 

Quelqu’un aurait quelque chose de rassurant  dire ?

mardi 3 mars 2009

Quel con!

Hier j’ai fait l’enregistrement de deux personnes passionantes, une moldave et une ouzbeck. A elles deux elles parlent une quinzaine de langue. Elles sont en LEA russe/anglais ici à Aix.

 

Cela avait été une drôle de rencontre, vous vous asseyez quelque part pour bosser, un peu distraitement vous tendez l’oreille et pas loin de vous on parle une langue qui ne vous pas tout à fait inconnue : Le Russe.

 

Deux heures plus tard le rdv était fixé, l’enregistrement durait plus d’un quart d’heure. Le moldave (genre de roumain),  le russe, le français , l’anglais, le roumain , l’italien et l’allemand pour l’une, le russe, l’ouzbeck, le tatare, le kirgise, turckmen et en fait toute une tripotée de langues turques pour l’autre.

 

Avec des parents qui parlent d’autre langues, des scolarisation bilingues, des mariages multilingues…

 

Le rêve quoi.

 

Alors je me dit le monde semblera trop beau, il faut que je trouve un troisième larron qui contrebalance.

 

Ni une ni deux, j’appelle mon pote Howard, un amerloque qui comprend même pas un anglais de Londres tellement sa monoculture du Minesota est mono. Je lui fais miroiter des crêpes pour ajouter à la motivation. Comme prévu l’interview fait apparaître qu’il n’écrit même pas correctement sa seule langue (dyslexique dit-il).

Et je me dit la guerre froide à peut être pas eu l’issu qu’on pense.

Et ce matin en me mettant les pieds sous la table pour décortiquer mes deux amazones middel orientale… quoi donc-je, j’ai enregistré l’Howard sur les donzelles.

 

Les dieux de l’enregistrement m’en veulent, leur foudre est terrible, de ces deux russinantes il ne me reste rien !!!

lundi 2 mars 2009

article BI/plurilinguisme

Avis à ceux dont les yeux supportent de passer des heures à scruter quelques centimètres d’écran, ceux dont les doigts ne cherchent plus accents et apostrophes sur les claviers d’ordinateurs, à ceux-là voici trois sites dont la visite vous entrainera dans les méandres d’un sujet volubile.

L’éducation bilingue

 

Les trois sites fonctionnent très différemment :

1.     Ceux qui aiment l’impression d’exhaustivité, les liens, les documents officiels, le discours de la recherche scientifique, ceux-là  aimeront

2.     Ceux qui ont besoin que les choses soient dîtes avec des tournures dignes d’actes de langages, les pragmatiques, les café associatifs, et les reportages vidéo/photo racontant le comment de là-bas, ceux là préfèreront

3.     Ceux qui, enfin affectent, ou plutôt n’affectent pas, qu’un site soit illisible, incomplet, mais que, oui, il soit l’expression d’un groupe de travailleurs unis sous la voûte bienpensante d’une association ayant pignon sur rue,. Ceux-là qui gardent quelque chose de cœur même après des heures devant leurs lumineux écrans et qui attachent de l’importance au terroir socio-associatif français, eux-là donc ne détesteront pas

 

Et puisqu’ils ne fonctionnent pas pareils c’est qu’ils ne sont ni fait par, ni fait pour les mêmes gens. Est-ce donc que l’éducation Bi/plurilingue est paysage d’existence si vaste, je ne l’aurais pas crû, le crois-je ? Pas non plus.

Voilà pourtant mon avis : ces sites existent heterotéliques, c’est à dire non pas qu’ils se justifient en eux même mais qu’ils jouent un rôle. Hors donc, mon sentiment est que,  de leur visite je me distrais mais véritablement je n’apprends pas,  ou plutôt je m’informe sans apprendre, et je ne suis pas certain que celui qui voudrait entreprendre de mettre en place des Curricula Bi / Plurilingue n’ait autre chose que de la curiosité pour ces trois sources, aux défauts bien différents, selon moi.

Les travaux s’accumulent et me voilà moins tolérant, moins curieux, moins scrupuleux peut être.

 

PGCE PGCE j’écris ton nom.