mardi 28 octobre 2008

garbage man's poem

There was a time I wanted to be a garbage man,

It’s a funny wish for a young man.

But if you know what a young man’s done with ,

Then it’s not that funny.

 

There was a time I wanted to be a garbage man,

It’s a funny wish for a young man.

I wanted to live the darkest of the night,

Hanging at the back of the truck.

And then, in the desert of a sleeping city,

Watching the dawn’s early colours.

 

Slowly first, the silhouette  of a man would appear,

And turn into a running crowd.

Rushing in and out the tube, going to work,

I would be picking garbage up  the  streets.

 

So I ended going to Mister garbage man's office,

And asked about the job.

There, I was unpleasantly told the requisites,

To be MR garbage man.

 

I didn’t care about the smell and the salary,

I just thought hanging at the back of the truck

From the dark night to the very morning,

Would be enough to make my day beautiful.

 

There was a time I wanted to be a garbage man,

It’s a funny wish for a young man.

But if you know what a young man’s done with ,

Then it’s not that funny.

Written by Pierre

 

 

 

lundi 27 octobre 2008

mes amis les bloggers

Monsieur Parodi... J’aime biens son blog, un peu obscur mais on y voit une certaine poésie, il nous met à disposition les liens, pour ne pas chercher nous mêmes, vers les artistes qu’il aime, sobre en présentation mais efficace, c’est dommage qu’il ne se cite pas ses dessins valent le coup... mais je ne le fais pas non plus pour mes photos http://lachambrenoiredeseb.blogspot.com/2008/10/lautriche.html

Madame la parisienne... je dois dire que je suis pas très friand du fond que tu as choisi, les photos sont belles pourtant et la qualité du propos suffit au voyage quelques liens aussi et des gadgets dont on peu pas tout le temps faire ce qu’on veut, comme ce fichu diaporama de cliché impersonnels. http://clairamarseille.blogspot.com




Lyne chère lyne commence et découvre, peu de liens, quelques images connues, un fond blanc (mon préféré), style clair et espacé... dans peu de temps elle aura rattrapé son retard et nous dictera nos billet j’en suis sûr... http://motissageetjeudemots.blogspot.com/

mercredi 22 octobre 2008

Chypre

(google map)

Chypre:
Ce qu'en dit le profil Linguistique:
  • Deux langues officielles: Grec et Turc.
  • Deux scolarisations possibles: En Grec ou en Turc.
  • Terrain très fortement multilingue et par voix de conséquences fort plurilinguisme.
  • Système éducatif public lacunaire, système d'examens défaillant, écart lycée/université, absence de matériel pédagogique adapté.
  • Éducation privée très forte.
  • Besoin généralisés de cours particuliers supplémentaires pour les étudiant du public.
  • Confusion des statuts linguistiques entre Grec chypriote et Grec hellénique.
  • Situation d'Anglais langue seconde dû à l'importance du développement touristique et tertiaire..
  • Présence de très nombreuses minorités linguistiques bien intégrée.
  • Exode universitaire très fort.

Proposition faites:
  • Définir clairement les objectifs linguistique du public en accord avec le CECR
  • Développer des réflexions sur la compréhension du liens identité nationale/identité européenne.
  • Besoin de formation continue du corps enseignant au cadre européens et aux politiques linguistiques mises en place.
  • Favoriser l'apprentissage d'autre langue que l'anglais.
Ce qu'y n'apparait moins:
  • La capitale de Chypre est séparée par un ruban de casques bleus du fait des très fortes tentions entre Grecs et Turcs.
  • La majorité grecque est particulièrement attachée à la nation hellénique et dans l'enseignement la matière "grec" prend le pas sur toutes les autres.
  • Depuis deux ans la frontière est réouverte entre les deux parties de l'île mais dans cette petite société l'armé et les busyness du tourisme décident.

mardi 21 octobre 2008

samedi 18 octobre 2008

le comment du pourquoi?

L’ordinateur est un objet mystérieux presque autant que son maître l’homme:

néanmoins...


Pour insérer une photo dans vos billet il y a un petit cadre dans les commandes de bords de la pages “publier un message”. Attention!!! Les photos apparaissent parfois un peu n”importe comment vous pouvez présélectionner leurs tailles, ordre, et choisir si vous voulez les centrer ou coller à gauche ou à droite, selon les effets que vous voulez donner à votre propos. Ca m’a pris deux ou trois billets avant de comprendre comment arriver à mes fins.


Pour les vidéos c’est un peu plus compliqué, sur Youtube vous trouverez un encadré disant “intégrer cette vidéo à mon site” copier le code qui suit et insérer le (coller) à l’endroit précis ou vous souhaitez que la vidéo intervienne dans votre billet. Par contre je ne crois pas qu’on ait beaucoup de liberté quant au modalités de présentation de la vidéo... Au sujet de daily motion, je ne connaît pas du tout ce site mais Elodie vous renseignera parfaitement dans son petit billet.


http://elolela.blogspot.com/2008/10/comment-ajouter-une-vido-sur-mon-blog.html

http://zaza-fle.blogspot.com/



Reste que le plus simple est de se faire confiance et de découvrir par soi même l’éventail des possibles, et ne pas se décourager quand on à l’impression d’être maudit par les machines, (ce qui arrive souvent).

jeudi 16 octobre 2008

blague basque

Cette blague m'a toujours fait énormément rire,
et ma mère aussi,
par contre en général elle fait un flop partout ailleurs,
peut être n'est-elle pas tout à fait étrangère aux questions de l'interculturel...
Un jeune parisien conduit un splendide cabriolet dans les montagnes du Pays Basque.
Il fonce, freine, profite des courbes, du paysage, et finalement a une panne.
Alors comme au milieu des belles montagnes basques son portable n'est d'aucune utilité, il marche un peu. Et finalement rencontre un berger qui s'occupe de ses bêtes.
-"Bonjour!" Lance le jeune homme pour mieux apprivoiser l'autochtone
-"Oh vous avez là de belles vaches!"
Alors le vieux berger basque le regarde d'un air sombre
-"Les noires ou les blanches?"
Le jeune parisien perd un peu de sa contenance mais essaye:
-"Euh les noires sont bien belles...!"
-" Ah ça oui qu'elles sont belles mes vaches noires"
-" Mais est-ce que vous ne trouvez pas que les blanches soient belles aussi?"
-" Pour sûr qu'elles sont belles aussi mes vaches blanches!"
Le jeune parisien s'étonne un peu que son interlocuteur sépare son troupeau alors qu'il pourrait faire une réponse commune, mais il a besoin de son aide alors il continue.
-"Et donnent-t-elles beaucoup de lait?"
-"Les blanches?"
décidemment le jeune homme a du mal à suivre son interlocuteur.
-"Euh oui les blanches"
-"Ah ça les blanches j'en suis content elles donnent, elles donnent."
-"Mais est-ce que les noires ne donnent pas autant?"
-"Si si les noires donnent beaucoup aussi."
Alors le jeune parisien n'y tient plus et demande:
-"Pardon Monsieur mais pourquoi séparez-vous les blanches des noires si vous avez une même réponses pour les deux?"
le berger le regarde amusé.
-" C'est que les noires sont à moi!"
-"Et les blanches?"
-"Ah les blanches aussi"
...


Mon père aussi a pas mal rigolé...

mercredi 15 octobre 2008

La Colombie


J'aurais dû aller en Colombie un an pour mes études,
tout était prêt, un appartement quelques connaissances,
mais l'étudiant qui partit avant moi s'est fait enlevé près de la frontière brésilienne,
alors on m'a envoyé au Costa Rica.
Mais quelque chose me fait penser encore à la Colombie.




J'ai connu une dame de Bogota qui disait:
"Nous sommes riches, si nous étions si pauvre alors pourquoi tout ces gens se battraient pour venir nous visiter, nous connaitre, nous exploiter".





la Colombie, 
si vous voulez voir les caraïbes allez à Cuba,
si vous voulez voir les Andes allez au Peru,
si vous voulez voir des déserts allez au Mexique,
mais si vous voulez voir tout cela allez en Colombie.

jeudi 9 octobre 2008

pedro kouyaté




J'ai connu Pedro dans le Metro,
en fait j'ai entendu sa guitare avant de voir son visage.


Quelques semaine plus tard, 
je jouais à son mariage avec Sophie,
aujourd'hui encore 
sa musique est une immense source d'inspiration
pour moi.







mercredi 8 octobre 2008

bonne mère


Un ami à moi, 
m'a dit que jamais on ne voit autant de cierges,
sous les voûtes de la basilique,
que les soirs de match.


Alors j'ai voulu voir par moi même,
hélas les portes étaient closes,
le temple était fermé,
alors qu'on ouvrait le vélodrome.


Le couché de soleil sur le Frioul 
valut l'ascension.

lundi 6 octobre 2008

mes camarades de classe

          

Je partage quelques heures de ma semaine avec des gens bien intéressants,
chacun de son parcours, de son projet, de son regard...
      chacun à ses petites affaires de vies.

(S.Salgado)
 J'y découvre que d'autres que moi aiment les images,
que ailleurs aussi les matins sont beaux...


(S.Salgado)
Moi qui ai traversé une quarantaine de pays ces deux ou trois dernières années, 
je suis heureux d'être surpris de la richesse de mes camarades de classe.

Jefferson Arce Rodriguez





          Jefferson Arce Rodriguez

est un ami à moi...


es muy amigo mio



Il sait faire que le théâtre

vous transporte

dans des régions de l’être

bien loin...


sabe hacer que el teatro

lo lleve a uno

hacia lejanas

regiones del ser



et aussi 

il m’a fait découvrir 

Federico Garcia Lorca.


y también,

me hizo descubrir a

Fedérico Garcia Lorca.



samedi 4 octobre 2008

L’interculturel, recette d’une rencontre réussie avec l’Autre, ici ou ailleurs:

Le Français voyage. Le français aussi, de longue date c’est une habitude pour nous jeunes gens de soupirer en pensant à des terres lointaines et d’en revenir mûrs et sûrs, mais surtout riches de l’expérience de l’altérité.


                            

 (H.Cartier Bresson)

Mais aujourd’hui il est une chose toute légère que nos jeunes assoiffés d’"autritude" pourront, non pas ramener mais emporter avec eux le jour de leur départ.

Une chose qui ne prendra pas beaucoup de place dans nos valises, et même, possède le pouvoir d’alléger notre voyage... le regard interculturel.


...


Ce n’est pas un chapitre du routard, ni un tour préorganisé en hélicoptère, non rien de tout cela. C’est ,si on aime les grands mots vagues, une Philosophie, une disposition personnelle, une attitude que vous pourrez adopter lors de votre rencontre à l’autre.


                                                        

 (H.Cartier Bresson)

En Fait, c’est surtout le fruit de nombreuses années de recherche, d’études et de publications, qu’un jeune étudiant du cours de F.L.E. qui n’a peut être pas bien compris les consignes de son exercice, est en train de digérer. Et que nous dit-il ce regard que nous offre l’interculturel?


Que la culture, la nôtre ou celles des autres, est une production sans cesse renouvelée, production qui ne se comprend que par rapport à des gens qui communiquent. La culture tout comme l’idée d’identité est une remise à jour constante de pratique, de modes relation, de manières de s’organiser avec la réalité.


               

(S.Salgado)

Que vous partiez dans un pays chargé de milliers d’années d’histoire, de vestiges, de traditions, ce que vous rencontrerez toujours en tout premier lieux c’est la culture immédiatement actuelle, vécue, utile, vivante. Observez deux personnes se parler et vous aurez un aperçu de la proxémique  de rigueur, visitez un marché et vous aurez une fenêtre sur certaines pratiques sociales des plus significatives, envoyez une carte postale à votre maman et vous pourrez mesurer le niveau de développement du système de communication.


                                    


La perspective interculturelle consiste à voir tout ces petits gestes et anecdotes non pas comme les traits caractéristiques de telle ou telle culture mais bien comme le fruit d’une longue et bouillonnante activité culturelle. Cela ne vous empêchera pas de faire parfois l’expérience des idées toutes faites que vous n’avez pas pu ne pas emmener, mais au moins vous aurez fait la rencontre de l’autre plutôt que la rencontre de votre idée de l’autre.


A vrai dire nul n’est besoin de partir loin pour faire la rencontre de l’autre, nos sociétés s’enrichissent chaque jour plus d’une hétérogénéité de pratiques culturelles. Marchez dans votre rue et je gage que vous n’aurez que quelques pas à faire pour rentrer en contact avec d’autres façon de saluer, de concevoir le monde, de donner du sens.


                                          

 (W.Laam)

Un test facile: Si vous vous surprenez à comparer ce que vous rencontrez à ce dont vous émergez, vous êtes encore dans une vision statique de la culture. Si, par contre, vous réalisez spontanément un acte, dîtes une phrase, ou adoptez une kynésie n’appartenant pas à votre arrière-plan culturel, vous aurez su sortir des modèles dans lesquels vous aviez évolué jusqu’alors.  

jeudi 2 octobre 2008

matins



de chez moi les matins sont beaux