jeudi 29 janvier 2009
la huelga muchachos pero en espanucho!!!
en me baladant récemment à expolangues à Paris, j'y appris que la DGLFLF la même qui dit que les langues de France sont au nombre de 7. ... beaucoup. Cette DGLFLF donc arbore quelque chose de neuf, "l'intercompréhension",
qu'en dire?
Je ne sais pas.
Mais on va faire le test si vous le voulez bien: accrochez-vous, voici mon récit de la manif dans un espagnol intercompréhensible...
marchar es simpatico, igual si se protesta duro.
revela paradojas humanissimas
el oro, la marcha, el oro, la gente furiosa, el oro, los pobres, el oro,
quien gana???
non obstante estan los chiquitos, corren, sonrien, son bellos, y no tan imbeciles.
saben mucho, como por ejemplo, saben que una idea se defende.
con los paparazzi la gente se siente importante y canta cosas que el pudor prohibe repetir aqui.
de repente degustamos effectos luminotecnicos ambiciosos, sorprendentes.
y yo pienso: que bien organizados venimos.
y finalmente de la marcha me marcho, regreso a mi casa con ideas nuevas y esperanza.
me tomo un té con el horizonte, y pienso...
qué sera sera como dice la cancion.
qué sera.. no sé.
el dios de las marchas decide.
y yo que no soy dios espero.
que piensan companeros, nos intercomprendemos?
jeudi 22 janvier 2009
quelques observations oreilles tendues au bord d'un bar
Les marseillais sont marrants, ils disent :
En cas pour dire quelque chose qui n‘est pas exactement comme au cas où, mais plutôt finalement ou bref quelqu'un de la classe vient de me dire « en cas tu me rappelles quant tu sais. »
Ils utilisent pareil et autant comme connecteurs logiques, pour dire quelque chose genre de la même façon, « pareil/autant tu m’appelles demain ».
Il prononce tous les E muets même ceux qui sont tellement muets qu’on ne les écrit pas, pensons aux fameux pneus de Valery.
Et moi j’aime bien ça, et si je me plante, et si vous en avez d’autres du genre bin faites le moi savoir !!!
mardi 20 janvier 2009
La poétique de Chamoiseau ou l'intraitable beauté du monde?
Je vous parlais de mon ami Jefferson Arce Rodriguez dans un billet, je disais qu'il est metteur en scène qu'il étudie à Madrid, qu'il a grandi dans les montagnes de Herredia au Costa Rica.
Il a passé les fêtes de noel en garde-à-vue pour avoir voulu visiter Berlin, son visa d'étudiant l'autorise à étudier pas à visiter.
il me l'écrit et je ne sais pas bien quoi lui dire.
Alors je me demande, pourquoi nous les européens avons eu tant besoin de visiter le monde au XIXieme, est-ce parce que nous ne supportions plus notre propre compagnie, que nous dûmes l'imposer à d'autres?
Voilà ce que je lui répondais finalement: nous fermons nos portes parce que nous avons trop peur que le monde découvre notre misère humaine, nos vieux qui meurent seuls, nos jeunes qui grandissent devant un écran, et cette idée bien vivante encore (chez ma voisinne dumoins) que nous nous trouvons au pinacle de la civilisation humaine, que le salut des hommes passe par quelque chose qui doit nous ressembler à nous.
Et si dans mon esprit Jefferson Arce Rodriguez pouvait offrir à l'Espagne plus que tous les conquistadors, y a-t-il quelqun pour entendre cela?
Patrick Chamoiseau parlait ce matin (france inter) d'une nouvelle architecture symbolique avec le nouveau président américain, il y voit un message à tous les non blancs... l'espoir existe donc, et on peut même l'élire.
Libellés :
de l'intraitable beauté du monde
dimanche 11 janvier 2009
samedi 3 janvier 2009
réviser FLE RO6???
Voici pour ceux qui voudraient être au courant de tout, un site dont la visite est une bonne révision de notre cours du mardi matin, et où je m'étonne de ne voir nulle part le nom de Monsieur notre Professeur...
du basque , du mandingue, du Fernadel, du tiersen, du Khaled, du pour qui n'en veut...
du basque , du mandingue, du Fernadel, du tiersen, du Khaled, du pour qui n'en veut...
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