vendredi 28 novembre 2008
atelier de français langue étrange
moi... j'aimerais bien travailler sur un blog qui...
qui serait un blog où...
allez j'arrète.
j'arrète de... de ne plus...
non, non.
bon, qui est-ce que ça intéresserait de travailler sur tout plein de manières d'expliquer simplement et rigolemment le français?
- trouver ou créer des moyens mémnotechniques pour expliquer les nombreuses exeptions qui font du français une langue étrange mais sympathique (si d'autres adjectifs vous viennent à l'esprit laissez moi un commentaire... je perds pas le nord).
-Comme un atelier d'explication. En fait le français moi je le parle mais je suis pas sûr de l'expliquer, alors je me dit comme ça que ça serait le moment de l'occasion.
Mr notre professeur nous a laissé entendre qu'un blog éducatif pouvait prendre des formes multiples voici celle à laquelle je pense.
ps: si vous allez a l'Alcazar parfois il y a au RDC en ce moment une oeuvre qui s'appelle "les émigrants" et qui date d'avant le XX s, qui est très forte.
lundi 24 novembre 2008
carnet d'impressions
à écouter en lisant.
Samedi 14h04, place 111, dans 203 minutes j’arrive à Marseille.
Samedi 13h15, rue de Ménilmontant, un enfant me sourie, reconnait peut être son ancien animateur.
Vendredi 8h02, Avron, j’attends sous la pluie que les autres musiciens arrivent. Je ne supporte jamais d’être en retard.
Jeudi 21h01, mes mains tremblent un peu, je commence à jouer.
Samedi, Gare, je pense pour moi : « Pourquoi tout le monde est en noir ? » Je marche lentement j’ai le temps.
Vendredi 23h42, rue de Turenne deux jeunes avinés : « -tu vas aux plumes ou quoi ? -vite fait. –ouaich attend un peu mon frère ! ».
Jeudi, 17h44, le souvenir d’une amie me traverse.
Vendredi, 23h06, rue du Bourg-tibourg, un thé ragga passion au restaurant pour lequel j’avais fait des travaux, le décors a changé, pas mes poutres. Le patron m’invite, je suis un peu soulagé.
Vendredi, 23h55, rue de Ménilmontant, un homme court en Dc Marteens, et jeans je pense : « Ce garçon court vite », deux autres garçons courent avec lui, traversent ensembles le trottoir de l ‘eurobar, et mettent les menottes au premier.
Samedi, 11h03, je mesure la mémoire de travail de ma mère, résultat 5sur 12.
Jeudi 14h12, la répétition s’interrompt, un coup de fil de Howard conclu par un « God bless you ».
Vendredi, 23h45, après le second concert j’ai encore trop d’énergie, je cours entre fille du calvaire et Oberkampf.
Samedi je joue au Gilles de Watteu Au milieu de la foule de voyageur ce qui me donne l’occasion d’avoir de profondes réflexions sur des points superficiels de la vie.
Jeudi, 9h38, j’arrive à Paris ville qui à vue poussée les 19 premières années de ma vie.
samedi 22 novembre 2008
que dirais-je alors?
Pardon je n’écrirai pas comme mes camarades l’ont fait de grands résumés des très complètes informations que ce dossier contient, le temps, l’énergie, la vaillance, me manquent un peu. Que dirais-je alors ???
Ce que j’en retiens tout simplement :
· Un blog est comme un livre, ou même une bibliothèque, sauf qu’il ne cesse de se reconstruire, et sauf que c’est gratuit, et que tout le monde peut le lire, mais que presque personne le lit tout entier.
· C’est l’expression d’une expérience et non un grand discours didactique.
· C’est un espace privilégié, où on dit ou exerce ce qu’on ne dit ou n’exerce pas si facilement ailleurs.
· Si il est pédagogique le blog est un lieu qui permet de contourner certaines difficultés humaines (timidités, contraintes de temps, etc.)
· Le Blog existe dans un espace qui connaît droits, devoirs, lois, sanctions, etc. On fait pas tout qu’est-ce qu’on veut.
Bon ca n’en donne des idées pour quand que ce sera mon tour de pédagogiser sur la toile.
A dire vrai, si j’étais connecté alors que je tapote ces mots, je pourrais visiter les liens variés qui promettent d’être riches, mais comme le début de cette phrase l’annonce, l’a pas l’internet. Laura je crois a très sérieusement tautologisé l’affaire, courageuse qu’elle est, moi y en n’avoir trop fatigué pour contenir ma georgeperequisation.
Pardon, pardon ,pard…
lundi 17 novembre 2008
haïku
Dans un cours sur M.Proust j’avais convaincu ma professeure de travailler, Proust et le Haïku
Si vous ne connaissez pas en voici quelques uns, parmi mes préférés.
Viel étang
Grenouille saute
Le bruit de l’eau.
Dans ma hutte
Les voleurs ont tout pris
Sauf la lune pleine.
Puisqu’il le faut
Apprenons à mourir
À l’ombre des amandiers.
lundi 10 novembre 2008
arriba los alemanes
vendredi 7 novembre 2008
yes we can
« Lorsque nous avons surmonté des épreuves apparemment insurmontables ; lorsqu’on nous a dit que nous n’étions pas prêts, ou qu’il ne fallait pas essayer, ou que nous ne pouvions pas, des générations d’Américains ont répondu par un simple credo qui résume l’esprit d’un peuple.
« Oui, nous pouvons.
« Ce credo était inscrit dans les documents fondateurs qui déclaraient la destinée d’un pays.
« Oui, nous pouvons.
« Il a été murmuré par les esclaves et les abolitionnistes ouvrant une voie de lumière vers la liberté dans la plus ténébreuse des nuits.
« Oui, nous pouvons.
« Il a été chanté par les immigrants qui quittaient de lointains rivages et par les pionniers qui progressaient vers l’ouest en dépit d’une nature impitoyable.
« Oui, nous pouvons.
« Ce fut l’appel des ouvriers qui se syndiquaient ; des femmes qui luttaient pour le droit de vote ; d’un président qui fit de la Lune notre nouvelle frontière ; et d’un King [NDLR : en anglais, un roi, mais dans le cas d’espèce il s’agit de Martin Luther King] qui nous a conduits au sommet de la montagne et nous a montré le chemin de la Terre promise.
« Oui, nous pouvons la justice et l’égalité. Oui, nous pouvons les chances et la prospérité. Oui, nous pouvons guérir cette nation. Oui, nous pouvons réparer ce monde.
« Oui, nous pouvons. »
asi es como tratan lo intercultural los hibéricos.
Que el blanco sea blanco
y que el negro sea negro,
que uno y uno sean dos
porque exactos son los números........ depende.
Depende, de qué depende,
de según como se mire todo depende